C’est une période vraiment particulière, ce printemps 2020. Des termes comme « pandémie », « confinement », « distanciation sociale » m’étaient inconnus jusqu’à présent, comme à beaucoup de personnes de ma génération ou plus jeunes.
Il y a quelques années, nous entendions brièvement parler de grippe aviaire, de grippe H5N1, de SRAS, … sans nous sentir vraiment concernés à l’époque. Peu de répercussions dans notre vie, notre entourage, notre économie.
Et voilà qu’en l’espace de quelques mois, nous voyons venir la menace ! Un virus qui touche de plus de en plus de villes, régions… et de pays. En peu de temps, notre quotidien est bouleversé : nous devons à présent limiter nos déplacements et contacts au strict minimum : boulot, consultations médicales ou para-médicales (quand elles sont encore accessibles en présentiel), courses, …
Nous avons également le droit de nous aérer dans notre environnement immédiat, à condition d’éviter les lieux (trop) fréquentés. Par les temps qui courent, le « trop fréquenté » est vite atteint, nettement plus vite qu’avant.
Pendant ce printemps particulier, j’ai pu malgré tout observer la nature qui se réveille, insouciante, comme si de rien n’était. J’ai pu garder de beaux souvenirs de ces instants et je les partage avec vous.
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